Le lieu : Dans la commune de Rimogne (1 463 habitants)
L'histoire du projet : Un projet qui raconte le passé ardoisier des Ardennes, activité centrale pour le patrimoine et aujourd’hui disparue en France. Toutes les toitures en ardoises des bâtiments de la région avant 1971 ont été faites avec les ardoises de Rimogne et Fumay.
L'édifice : Un chevalement de 25 m de haut, le « puit St-Quentin ». Un site exploité depuis le XIIIe siècle et modernisé avec de nouvelles techniques d’extraction au milieu du XXe siècle, avec l’installation du chevalement avec son ascenseur qui permettait aux ardoisiers de descendre jusqu’à 120 mètres et son treuil au sommet.
Le site a été fermé 1971 et l'est resté jusqu’en 2011 lorsque la commune l’a racheté.
C'est le seul édifice de ce style existant encore en Champagne-Ardenne.
Les travaux : Une restauration complète du bâtiment (couvertures en ardoises naturelles, bardages métalliques, mise en sécurité des escaliers d’accès).
L'idée après les travaux : Ouvrir le chevalement minier au public (transformer la plateforme du premier niveau en point de vue), pour compléter l’offre touristique déjà existante dans ce Village de l’ardoise (Rimogne accueille la Maison de l’Ardoise, se trouve sur le circuit de la Route de l’Ardoise dans les Ardennes et est traversé de chemins de randonnée.
Le lieu : Parc naturel régional de l’Avesnois (140 communes / Maroilles : 1 403 habitants)
L'histoire du projet : L’abbaye de Maroilles a été fondée par des moines bénédictins au XVIIe siècle. Partiellement détruite lors de la Révolution française, les seuls bâtiments qui subsistent sont la grange dîmière* et le moulin.
L'édifice : La grange dîmière (inscrite aux Monuments Historiques) accueille aujourd’hui la maison du PNR, lieu d’information et espace d’animation dans les domaines de la nature et de l’environnement, du patrimoine et des produits du terroir. Elle accueille également des expositions temporaires.
Les travaux : Le but est de faire une extension de la maison du Parc afin d’y accueillir l’ensemble de l’équipe technique (50 personnes) et de disposer d’un bâtiment démonstrateur en matière de préservation du bâti ancien et d’efficacité énergétique : utilisation d’éco-matériaux et du bois pour la restauration, recours à la filière bois issu du bocage environnant pour le chauffage.
La grange dîmière sera restaurée et reliée via une extension moderne aux 2 maisons de bourg à l’architecture traditionnelle de l’Avesnois (briques et pierre bleues) situées dans le prolongement, pour créer un bâtiment unique.
*grange médiévale ayant appartenu à un seigneur ou à une abbaye exploitant en direct ses terres
Bon à savoir : Primagaz est aussi partenaire de projets de préservation du patrimoine naturel (26 projets entre 2018 et 2021 en plus encore en 2022).
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